La bûche d’Enfer, Jean-Paul HEVIN, Paris

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C’est simple, deux mots : qui dit HEVIN, dit DIVIN ! Et cette bûche dégustée en avant-première confirme ces dires.

Premier coup d’œil : elle est splendide et ressemble à une œuvre d’art…directement sortie de la FIAC !

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Puis à y regarder de plus près, on apprécie encore mieux le sens de son nom : la bûche d’enfer. Le socle est constitué de petits diablotins très finement sculptés, en chocolat noir. Une merveille de finesse.

La bûche en elle-même est faite d’une mousse au chocolat en provenance de Madagascar au petit goût acidulé, elle cache une crème chiboust légère au nougat et au miel de sarrasin, le tout déposé sur une fine semelle faite d’un biscuit chocolat aux amandes. En bouche, le goût subtil qui nous est apparu en premier est celui du nougat au miel de sarrazin suivi très rapidement par le parfum du chocolat, corsé, frais, c’est d’ailleurs impressionnant cette fraicheur ! Le chocolat de la mousse, d’une finesse extrême, est corsé et nous laisse une belle longueur en bouche.

Notre verdict : Sublimissime : nous sommes Fan, “les pieds sur terre, la tête dans les étoiles”. C’est clair, elle fera partie de nos desserts à Noël ! 🍫🍫🍫

Le plus : la fraicheur du chocolat, oui, oui vous avez bien compris une impression de fraicheur en bouche. Et la bûche en deux pièces : la bûche et le socle vendus séparément, quelle riche idée !

Notre conseil de dégustation : La bûche doit être fraiche et servie aux alentours de 18°C

Et la bûche Divine : http://wp.me/p6x02e-fm

Adresse : www.jeanpaulhevin.com

septembre 2015